Je regrette de n'avoir pas été de ceux qui lurent Sous le soleil de Satan dès sa sortie en 1926. Avec quel étonnement dans ce roman différent de tous les romans écrits jusqu'à ce jour ont-ils dû rencontrer le tueur d'âmes [...]. C'est sans nul doute une des grandes scènes de la littérature une de celles qui brusquement élargissent le champ tout entier de la fiction et semblable aux nouvelles découvertes de la science modifient l'avenir et corrigent le passé. Si l'on dit de Georges Bernanos qu'il fut le plus grand romancier de son temps nul n'est surpris