Quatrième de couverture : Le juge Ireton n'est pas sévère il est juste. Le juge Ireton n'est pas implacable il ignore la faiblesse. Ceux qu'il frappe de lourdes peines le méritent : le juge Ireton ne se trompe jamais. C'est pourquoi il envoie tant d'hommes à la potence sans regret. Sans se départir de son calme. Mais va-t-il garder son impassibilité maintenant que les rôles sont inversés ? Maintenant qu'il a pris la place de l'accusé ? comment juge-t-il son propre crime ? Que pense-t-il des preuves qui l'accablent du mobile qui le montre du doigt ? S'accorde-t-il des circonstances atténuantes ? Et au fait est-ce bien lui le coupable ? Datant de 1941 un problème de "chambre close" doublé d'une étude psychologique par un des maîtres du genre