Longue Marche. Tome 2 Vers Samarcande de Bernard Ollivier

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Longue Marche. Tome 2 Vers Samarcande Agrandir l'image
Bernard Ollivier
Phebus. 2001
in8. Broché. 328 pages
isbn-10: 2-85940-725-1
isbn-13: 978-2-85940-725-4
Etat Correct car micropliures de couverture

Plus de détails

119709

Correct

8,90 € TTC

Détail

Nom

Longue Marche. Tome 2 Vers Samarcande

Auteur

Bernard Ollivier

Editeur

Phébus

Date d'édition

2001

Taillein8
Reliurebroché
Nombre de Pages328
Nombre total de volumes1
Etat généralEtat correct
Détail de l'étatEtat Correct car micropliures de couverture
ISBN

9782859407254

En savoir plus

Au printemps de 1999 Bernard Ollivier - soixante-deux ans sonnés - est parti d'Istanbul sac au dos avec la ferme intention de gagner à pied Xi'an en Chine : 12 000 km au long de la légendaire Route de la Soie - soit une promenade de quatre ans si tout va bien. Aux étapes il se repose en écrivant. Un premier volume de cette Longue marche qui racontait la difficile traversée du plateau anatolien avait paru à la veille de l'été 2000 ; et la critique surprise avait salué moins l'exploit d'un homme que la naissance d'un écrivain. Bernard Ollivier poursuit ici sa route. Du printemps à l'automne 2000 (les neiges de l'hiver interdisent le passage des cols) il a franchi les dernières passes du Kurdistan traversé une large part de l'Iran - Tabriz Téhéran Nichapour - avant de se retrouver en juillet face au terrible Karakoum un désert impossible à traverser l'été. Il a d'abord cherché un chameau afin de transporter l'indispensable provision d'eau (douze litres par jour : ration de survie d'un marcheur) et s'est faire rire au nez. Et puis têtu comme un caillou du Khorassan il s'est fait chameau lui-même : il achète un vélo d'enfant le désosse et réussit à le transformer en une sorte de chariot auquel il s'attellera pendant plusieurs semaines... Jusqu'à ce qu'apparaissent enfin à l'horizon les coupoles d'or de Samarcande ! Sentiment de la presse à la parution du premier volume de Longue marche : Bernard Ollivier est un voyageur. Il ne se prend pas pour un écrivain. Le résultat est qu'il écrit souvent mieux que les écrivains-voyageurs patentés... Il voyage comme le font tant de héros de Conrad : pour se découvrir. Passionnant. Mieux qu'un récit de voyage un itinéraire à la rencontre de l'autre. Un régal... On vit on vibre on s'émerveille